Le ridicule ne tu pas ( Pv Sarah )

Je vous dis, gaffeuse comme je suis, c'était évidant que je termine ici un jour ou l'autre, à l'infirmerie. Je suis otujours entrain de me blaisser ou de briser quelque chose, mais là, au point de me faire amener à l'infirmerie, avec cette dame qiu me rapelle les hopitaux, moi qui les hais plus que tout au monde. J'ai une peur plus que bleu des maladies et de ses endroit qui sentent le déinsfectants et tous ses hommes et femmes malades vêtu de bleu poudre avec un petite masque dans la figure pour qu'ils ne tombent pas malade plus qu'il le sont déjà. Juste a y pensant, j'en sait des frissons.

Je vous explique se qui met arrivé, vous allez me prendre pour une folle, mais ça fait rien. Je suis habitué. J,était dans une cours de Bio, quand l'enseignant à dit se que nous allions faire aujourd'hui. Nous allions disséquer une grenouille. Je hais les grenouille et le sang. Je ne peux pas supporter la vu du sang, je lève ma main et prend la parole.

" Monsieur ? Je peux sortir, je.. Je hais la sang. "

" Candice Hilton, à chaque cour vous me dites la même chose, je peux sortir, j'ai oublier mon livre. Je peux aller au toillet. Non, pas cette fois, vous allez agir en adulte, ici c'es une université. "

Il avait bien raison, mais moi, je suis toujours une enfant et je ne peux pas voir du sang sans réagir de façon stupid à chaque fois. je me joue dans les cheveux sans arrêt, je stresse et regarde sans arrête l'horlogue. Il finit par sortir les grenouilles et en passé une à chaqu'un de nous. Je stresse et n'ose rien faire, mon voisin fait comme tout le monde et comme le travaille. Je regarde à peine et reprend la parole après avoir levé la main.

" S'il vous plait monsieur, je vais être malade... "

Je commence vraiment à avoir la nosé. Je me lève, car même si il refuse, je sors, il prend la parole pour une seconde fois.

" Non, Mlle Hilton, faite le cour comme tout le monde, sinon... "

Il ne peut finir sa pharse que je perd conscience, oui, oui, je suis tombé dasn les pommes et je me suis frappé la tête sur le coin du bureau. J'ai eu l'aire d'une folle, c'est sûre, mais au moins, je suis plus dans se cour. Je viens d'ouvrir les yeux. L'infirmière me pause plien de question. Je ne l'écoute pas encore, je suis sous le choc je crois. Je troune la tête et vois une tête qui m'aies famillière. Elle est assise à mes côté, mais portant, je ne lui est pas parler depuis.. Depuis se fameux concert. Sarah. Sarah quoi déjà ? J'ai pas de mémoir, c'est pas pas chute rassurez-vous. Je souris légèrement intrigué et prend la parole.

" Sarah ? La fille du concert ? Il y a au moins 5 ans ? "

Le ridicule ne tu pas ( Pv Sarah ) Img-1510

Aux alentours de 02.15 p.m.

Sarah n'eut pas le temps de terminer sa longueur qu'elle trouva une de ces compatriotes assoupie dans l'eau. Elle s'arrêta, la secoua un peu avant de réaliser qu'elle ne respirait plus. Elle la porta en vitesse sur le bord ou elle entreprit un massage cardiaque des plus coriaces. La jeune femme en question finit par recracher le trop plein d'eau et son rythme cardiaque reprit, certes un peu rapide mais le principal c'est qu'elle était vivante. Hampton reçut les compliments de son coatch qui venait de lui demander où elle avait appris tout cela. « Un massage cardiaque, Sarah, c'est très délicat ! Il faut être sûr de soi ! » Sarah ne comprenait pas pourquoi elle avait droit aux recommandations alors qu'elle venait de sauver une femme. Elle oublia ce message et sauta dans l'eau bien décidée à terminer ces foutues longueurs. Mais un homme venait de posé sa main sur son épaule en lui souriant. Il lui demanda si elle serait d'accord pour l'aider à transporter sa copine à l'infirmerie. Il voulait s'assurer que tout allait bien. Sarah ne put refuser, elle sortit donc de l'eau en marmonnant dans ses dents qu'elle était vraiment crevée et que finalement cet épisode était des plus emmerdant. * Bordel, on est sensée sortir avec un homme fort qui sait au moins se démerder seul pour nous transporter, non ?! Mais les mauvais goûts ne se discutent pas ! * Elle ne savait pas trop comment s'y prendre pour la porter. L'homme lui indiqua comment se mettre et il lui mit le poids de la jeune fille entre les bras. Sarah allait s'écrouler, c'était certain. Elle s'était levée bien trop tôt ce matin, et n'avait pratiquement rien avaler. Juste le strict minimum pour un entrainement quoi ! Pas pour du sauvetage. Elle s'était déshabillée et rhabillée trois fois de suite tellement elle était distraite. Fatiguée, surtout ! La veille elle avait fait l'erreur de sortir avec quelques amis et n'était pas rentrée avant 3h du matin. Les traits de son visage la trahissaient, elle avait de grosses cernes qui ne devaient pas être sexy en soi.
Elle traversa tout le bâtiment en essayant de ne regarder si le copain ni la jeune femme. L'homme la fixait cependant et Hampton se demanda ce qu'elle avait d'anormal excepté le contour de ses yeux. La jeune femme par contre lui souriait, profitant surement du confort que Sarah lui apportait brutalement. Mais Sarah faisait une bonne action, que Dieu la récompense !

Aux alentours de 02.30 p.m.

Ils venaient de traverser le bâtiment principal sans qu'aucun des trois ne prononce un mot. Sarah était en colère, la jeune femme était exaspérée de ce qu'elle faisait endurer à tout le monde et l'homme avait terriblement peur que Sarah -qui marchait à reculons- se trébuche et laisse sa petite amie tomber. Il rentrèrent enfin dans l'infirmerie et Hampton sentait qu'elle allait lâcher prise si quelqu'un de fort ne les aidait pas dessuite. Il passèrent la porte et s'approcha d'un lit quand elle entendit derrière elle prononcer son nom. Elle se retourna et reconnut sa vieille amie Candice. Elle lâcha la jeune femme sur le cou de la surprise qui hurla aussitôt.

« - Oh mon dieu ! Candice ..»

Sans la quitter des yeux elle aida machinalement la jeune femme à se relever et la hissa sur le lit blanc. Son copain regardait Sarah d'un air méchant et celle-ci s'excusa vite fait en s'approchant doucement de sa vieille amie. Les deux filles s'étaient rencontrées lors d'un concert bondé de monde. Ce concert s'était très mal terminé et la foule était devenue subitement agressive. Tout le monde bousculait les autres, marchait sur des enfants et criait dans tous les sens. Le groupe de musique avait créer le scandale et se hâta de dégager rapidement vers d'autres horizons. De leur côté, Sarah et Candice se retrouvèrent recroquevillées au fond d'un trou afin d'échapper à tout ce vacarme et à ce bain de sang. Elles firent alors connaissance et passèrent quelques jours ensemble le temps de pouvoir rentrer chez elles. Leur chemin commun fut sans doute long mais aucune d'elles ne regrettaient cet incident. Elles firent du stop, dormirent une fois en rue et volèrent un sandwich frais pour se nourrir. Et ce même si ce n'était pas très bien élevée elles étaient parties dans un fou-rire sans fin. Ces moments étaient gravés dans leur mémoire et quand il fut l'heure des adieux elles se promirent de se recontacter. Ce qui -vous l'aurez deviné- elles ne firent jamais. Ce fut donc une surprise émouvante pour les deux jeunes femmes. Sarah souriait de son sourire éclatant avant de remarquer que Candice se faisait ausculter. C'était quoi cette nouvelle mode de passer ses journées à l'infirmerie ? Elle s'approcha cependant d'elle en pleurant pratiquement de joie. De nombreux souvenirs revinrent à la surface et Sarah lui prit la main avant d'enchainer.

« - Comment vas-tu ? Candice, si tu savais ! Ca me fait drôlement plaisir de te retrouver dit donc ! Après tout ce temps ! Que deviens-tu ? Qu'est-ce qui t'amène ici ?! »

Dit-elle sans respirer entre les cous. Elle avait hâte de retrouver tout ce temps perdu avec la jeune femme et de lui raconter sa vie depuis dans les moindres détails. Il était certain qu'elle n'allait plus la lâcher de si tôt.

« Euh.. Je.. Je vais bien, enfin on peut dire, je sui squand même à l'infirmerie. Je suis moi aussi, plus qu'heureuse de te revoir, tu m'as terriblement manqué. Ce que je deviens ? Eh bien, je suis maintenant étudiante à Hearst, comme toi à se que je vois. Ce qui m'amène ici ? Tu parles d'ici à l'infirmerie ou d'ici à Hearst. Pour te répondre, je suis à Hearst pour le Basket ball. C'est une passion depuis toujours, j'ai du temps parler avant ça. Et si tu parlais d'ici à l'infirmerie, eh bien, je suis tombé dans les pomme dans un cours de biologie, parce qu'on disséqué. Et toi ? »

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