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| Dommage, c'était Samedi ... [Jason } | |
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Angie Walsh
Princess of your Heart || Lovely Admin <3
Nombre de messages : 321 PLAYLIST : The Rolling Stones - Angie Date d'inscription : 11/11/2008
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| Sujet: Dommage, c'était Samedi ... [Jason } Dim 30 Nov - 23:12 | |
| Angie && Jason Ma main tapota mécaniquement le réveil qui émettait sa sonnerie stridente. Je me replongeais dans mes oreillers, qui n’étaient jamais aussi confortable et tentants que quand je me réveillais. Je restai un instant avant qu’à nouveau, l’appareil rouge n’émette le son tant redouté. Cette fois, j’entrouvris les yeux et l’éteignis complètement. Je poussai un large soupire. Mon lit, si confortable, semblait me supplier de rester au près de lui, de profiter encore un instant de la douceur de ces draps. J’avais réellement envie de rester ici, de profiter encore du sommeil, de céder à Morphée qui me tendait les bras.
Avec un effort de volonté que je ne me soupçonnai même pas, je sortais doucement de mon douillet lit. Mes pieds rencontrèrent la moquette familière de ma chambre, et je me levais, les yeux à demi fermés, mécaniquement. Je pris mes affaires de toilettes posées sur une chaise, et sortit en direction de la douche, qui devait normalement me réveiller. L’effet fut réussi. L’eau froide entra à peine en contact avec ma peau que je sursautai avant de rapidement augmenter la température, a présent parfaitement éveillée. Je restai un moment sous le jet d’eau, mettant un moment à me savonner et me shampouiner, avant de sortir, enveloppée dans une immense serviette. Récupérant ma trousse de toilette, je me rendis à nouveau dans ma chambre.
Elle était vide, et j’en profitais pour m’asseoir sur le lit et me détendre. Quelque chose clochait, mais je n’arrivais pas à mettre le doigt sur quoi, et ça me tracassait un peu. Finalement, tandis que j’ouvrais ma penderie, une ampoule s’alluma au dessus de ma tête. Un coup d’œil à mon réveil, qui affichait « Sat ». Nous étions Samedi. Et moi, je m’étais levée à 8 heures. Un long soupir m’échappa. Mais quelle cruche, ce n’était pas possible ça ! J’éclatai de rire tant j’en avais marre. Finalement, je savais que me recoucher serai vain, alors je cherchais de quoi me vêtir dans l’armoire.
Une fois que j’eus enfilé un jean et un tee-shirt, je m’installai confortablement sur un petit fauteuil, le seul de la chambre, et ouvrit le livre que je devais lire, pour le cours de Littérature. Malheureusement, au bout de deux pages, j’eus déjà envie de faire autre chose et pensais à mon repas de ce midi. Avec un soupir, je refermais le bouquin et le lançai sur mon lit. En frissonnant, je mis un sweat-shirt. Enfin ce n’était pas le mien, il appartenait à Jason, mais il savait pertinemment que ça faisait maintenant quelque temps que je lui avais emprunté. Je l’adorais, il était très confortable et me rappelai mon meilleur ami.
J’attrapais cette fois un ouvrage que je lisais- ou plutôt relisait de moi-même. Roméo et Juliette. Je ne sais combien de fois j’avais lu ce livre, et les pages abimées et ternies par le temps en témoignaient d’ailleurs d’elles mêmes. J’ouvris au hasard le bouquin et me mis à dévorer, page après page, l’histoire que j’aimais tant. Je le devais d’ailleurs à ma prof de Français de troisième, qui nous avait forcés à le lire. Je n’avais au début pas été très tenté, mais des les premières lignes je m’étais retrouvée prise dans l’histoire de l’amour impossible entre les deux héros. Finalement, je dois dire que j’étais plutôt heureuse de l’avoir découvert.
Quand je commençais un peu à m’ennuyer, environ une demi-heure plus tard, et que j’avais bientôt finis le livre, on frappa doucement à ma porte. J’étais soulagée, parce que je ne comptais pas passer ma journée du Samedi assise seule avec un bouquin, aussi bien soit-il. Je le lançai sur le lit, pour qu’il rejoigne l’autre, et allais ouvrir la porte. Avec un énorme sourire, je découvris Jason ma porte. J’étais très contente de le voir. J’étais toujours heureuse de le voir. Avant qu’il ne puisse prononcer un mot, je me jetais à son cou. Je savais qu’il avait l’habitude, j’étais assez … comme ça !
« Jason ! »
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| Sujet: Re: Dommage, c'était Samedi ... [Jason } Lun 1 Déc - 0:01 | |
| - Quel bonheur de ne pas avoir à entendre l'horrible sonnerie du réveil-matin annonçant l'heure de se lever. Je n'avais jamais été un lève-tôt et jamais je n'en deviendrais un. La semaine, j'avais prit cette stupide habitude de me lever si tôt pour aller jogger. C'était parfois pénible, mais je finissait toujours par réussir à me lever. Mais quand le week-end arrivait, il n'était pas du tout question de se lever à la même heure que les autres jours. Aujourd'hui, c'était samedi. Je n'avais pas prévu quelque chose de spécial pour cette journée, donc l'heure à laquelle je me réveillait importait peu. Mais bien évidemment, il fallait qu'il y ait quelque chose pour m'empêcher de dormir. C'est souvent la même chose. Lorsque l'on veut dormir, le sommeil n'est plus là.
Je ne sais pas quellle heure il était lorsque j'ai ouvert les yeux et franchement, je n'avais pas envie de le savoir. Il ne m'était pas envisageable pour l'instant de sortir de mon lit. Je tenta donc par tout les moyens possibles de retomber dans les bras de Morphée à nouveau. Après quelques minutes sans trouver le sommeil, je commença à en avoir marre. C'est en soupirant que je mit les pieds hors du lit. Mon réveil-matin indiquait 8h30. C'est quand même mieux que 5h00, m'étais-je dit. Comme à tout les matins, je me dirigea vers la douche, sans quoi ma journée ne pouvait pas commencer. C'est en traînant les pieds que j'entra dans la salle de bain. Je ne prit pas la peine de tourner la tête vers le mirroir puisque je devais faire peur à voir. J'ouvrit le robinet de la douche avant d'y entrer. Je laissais toujours l'eau couler quelques minutes, histoire de ne pas prendre une douche froide. J'entra finalement dans la douche et y resta quelque instants, le temps de me laver. Aussitôt fait, je sortit. Je ne passais jamais plus d'une dizaine de minutes à l'intérieur.
De retour à ma chambre, j'ouvrit la porte de mon armoire afin d'y sortir mes vêtements du jour. Jeans & t-shirt, rien de très surprenant. Une fois habillé, je passa devant le mirroir, histoire de ne pas sortir sans avoir vu de quoi j'avais l'air. J'avais beau ne pas accorder trop d'importance à mon apparence, il fallait bien que je voit mon reflet dans le mirroir au moins une fois au cours de la journée. La prochaine étape de cette matinée était le déjeûner. Bien que je n'ait jamais très faim le matin, on m'avait assez souvent répèter qu'il était important de manger le matin, que je le faisait sans m'en préoccuper. À la cuisine, quelques personnes étaient déjà présente. Ceux qui étaient encore endormis, faisaient vraiment la grasse matinée. Je prit place à la table et mangea mes céréales en discutant de tout et de rien avec les autres personnes présentes à la table.
Il était presque 11h00. Après avoir mangé, je cherchais maintenant ce que j'allais faire de ma journée. Je passais rarement mes samedi à ne rien faire, mais cela me prenait toujours quelque temps avant de décider ce que j'allais faire. Dehors, le soleil était présent, il n'était donc aucunement question que je reste à l'intérieur toute la journée même si la température n'était pas des plus chaude. Je quitta donc la résidence vers je ne savais trop où. Après quelques minutes, je décida d'aller voir Angie. Je savais qu'avec elle, il serait impossible que mon samedi soit ennnuyant. Une fois arrivé là-bas, je frappa doucement à la porte. Quelques secondes plus tard, la porte s'ouvrait laissant apperçevoir Angie. Je lui souria et sans que j'eut le temps de dire quoi que ce soit, elle se jeta à mon cou. Je n'en fut pas surpris, c'était toujours comme ça. Je n'allais pas non plus m'en plaindre. Je la serra dans mes bras un moment. Je remarqua ensuite qu'elle portait un de mes sweat-shirt et je souri de nouveau. Cela faisait longtemps qu'elle me l'avait emprunté, mais croyant l'avoir perdu, j'avais oublié que c'était elle qui l'avait.
« Je ne savais pas que je te faisait un tel effet. Dit-je en riant Alors, comment tu vas ? »
Il n'était pas vraiment nécessaire de lui poser cette question puisque nous nous connaissions par coeur, mais je posait toujours la question quand même.
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| | | Angie Walsh
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| Sujet: Re: Dommage, c'était Samedi ... [Jason } Jeu 4 Déc - 20:47 | |
| J’étais en effet heureuse de voir mon meilleur ami, à ce moment précis. Depuis notre rencontre, qui s’était passée lors d’un cours de littérature d’après mes souvenirs, bien qu’ils pussent être faux, je ne m’étais jamais ennuyé avec lui. On trouvait toujours un truc stupide à dire, quelque chose de bête à faire … Oui, quand on était ensemble, on pouvait aussi bien être très sérieux, notamment quand on parlait de l’avenir, que de grands enfants, le reste du temps. Toujours à se disputer d’ailleurs. Non, se n’était pas le mot. On se chamaillait plus qu’autre chose, riant avant même la fin de nos désaccords.
Alors pourquoi c’était mon meilleur ami ? Bonne question. Parce que quand je ne parlais pas, il savait parfaitement ou en était mes réflexions. Parce qu’il était là quand il le fallait. Parce qu’il savait me dire de me taire quand il le fallait, comme je savais le faire aussi. Parce que quand il me souriait, je savais qu’au fond rien n’avait d’importance, puisqu’il y aurait toujours des gens qui m’aimaient. Parce qu’il avait été à toutes mes compets’ de patinage, et que j’avais été à toutes les siennes avec les AEP. J’étais plus proche de lui que de mon frère, ce qui avait d’ailleurs tendance à l’énerver un peu. Pourtant, les deux auraient du bien s’entendre, puisqu’ils étaient aussi protecteur envers moi l’un que l’autre. Ils me trouvaient surement fragile ou quelque chose du genre.
Je ne pus m’empêcher de sourire à sa réflexion. Bien sur que si il le savait. J’étais toujours heureuse de le voir, surtout quand ça faisait quelques jours que ça n’avait pas été le cas. Et puis j’étais impulsive, aujourd’hui comme hier, alors mon câlin ma paraissait naturel. Mais à peine nous étions nous retrouver que nous reprenions nos habituelles taquineries, que ne cessaient à vrai dire jamais, à mon plus grand bonheur il faut le dire. Pas spécialement sadique, non. J’aimais juste les traditions. En parlant de ça, il faudrait que je lui achète un cadeau. Mais revenons-en à nos moutons.
« Ah bon ? Ben tu te coucheras moins con ce soir ! »
Je lui tirai la langue tandis qu’il entrait d’un pas léger dans ma chambre, dont ma partie était parfaitement rangée. Je n’étais pas maniaque, j’aimais quand c’était rangé, nuance. Refermant derrière lui la porte, je ne jetais pas un seul coup d’œil au couloir de ma confrérie, vide, que je connaissais par cœur. Il me regarda un instant tandis qu’il posait sa question. Comme en témoignai certainement mes cernes, dont je ne doutais pas de l’existence, j’étais fatiguée. Bien sur, à présent j’avais retrouvé ma pêche habituelle qui ne me quittait que rarement, le matin. Mais la nuit n’avait pas été cependant des plus longues, il fallait bien l’admettre.
« J’suis crevée, mais je suppose que ça se voit. »
Je fis une drôle de grimace et vint m’asseoir à ses cotés, sur le lit. Je n’avais plus du tout envie de dormir à présent. Otant mes chaussures avec mes pieds – j’ignorai pourquoi je les avais mises d’ailleurs – j’étendis mes jambes sur les siennes, lui étant assis en tailleur, sans aucune gène. Ce n’était pas comme ci c’était important, ou encore qu’il n’avait pas l’habitude. D’un geste, je virai les deux bouquins qui avaient été jetés sur le lit par terre, de peur de les abimer en les laissant à l’endroit même ou Jason et moi étions.
« Toi par contre, ça à l’air d’aller plutôt bien Jazz ! »
J’en étais sure, lui ne souffrait pas de taches violâtres sous ses yeux. De plus, je n’avais pu que voir son sourire quand il était apparu à l’encadrement de ma porte. J’utilisais souvent ce surnom. Je savais qu’il ne le détestait pas, mais n’étais pas contre par sure qu’il l’affectionne particulièrement. Moi par contre, oui, parce que je savais que j’étais une des seule à l’appeler comme ça. Ca me donnait l’impression d’être spéciale, et dieu sait que j’en avais toujours eu besoin. Etrange, vous avez dit étrange ? Vous n’imaginez même pas à quel point !
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Dommage, c'était Samedi ... [Jason } Lun 15 Déc - 23:49 | |
| - Je ne me souvenais pas de la journée exacte de ma rencontre avec Angie. J'avais l'impression qu'on se connaissait depuis toujours. Depuis la naissance. Bon faudrait quand même pas exagéré. Je m'entendais mieux avec elle qu'avec quiquonque sur la planète. Je n'avais jamais été aussi proche d'une personne auparavant. C'est à peine si elle comptait plus pour moi que ma famille en entier. Elle était toujours là qu'en j'en avais besoin et elle savait que je serais toujours là pour elle. Je pouvais aller la voir, même si je n'avais rien de très important à lui dire je savais qu'on pourrait quand même parler pendant des heures. Elle savait tout sur moi & je savais tout sur elle. Angie était sans doute la personne qui me connaissait le mieux.
Je souris à sa remarque. Bien sûr que je savais qu'elle était heureuse de me voir. C'était toujours comme ça et c'était la même chose pour moi également. Il m'arrivait aussi d'être impulsif, mais elle l'était 100 fois plus que moi.
« Bon, tu me traites de con maintenant ? »
Je lui fit une grimace à mon tour, pendant que nous entrions dans sa chambre. Contrairement à la mienne, elle était toujours bien rangée. Je n'avais jamais vraiment aimé le ménage. Je n'était pas tellement bordélique non plus, mais ma chambre n'était pas rangée presqu'à la perfection comme celle d'Angie. J'alla m'asseoir sur son lit pendant qu'elle répondait à ma question.
« Effectivement, ça ce voit un peu. Mais c'est pas si pire que ça, je t'assure.»
Je lui souris alors qu'elle étendait ses jambes sur les miennes. Cela faisait très longtemps qu'il n'y avait plus aucune gène entre nous et c'était très bien comme ça. Elle me regarda avant de dire qu'elle trouvait que j'avais l'air bien contrairement à elle. Disons que j'avais bien dormi, que j'était en forme, mais bon j'avais sans doute déjà été plus heureux. C'était peut-être la neige qui me déprimait un peu.
« Oui tu as raison, je vais assez bien. »
De toute façon, quand je n'allais pas, que j'avais mal dormi ou peu importe, je m'efforcais de ne pas trop le laisser parraître. Je n'étais pas du genre à dire à tout le monde que je n'allais pas bien. Le fait qu'elle ait évoquer le surnom qu'elle seule utilisait m'avait fait légèrement sourire. J'aimais bien ce surnom. Mais que personne d'autre qu'elle ne m'apelle comme ça. Elle avait l'exclusivité sur ce surnom. Quand j'étais avec elle, je préfèrais presqu'elle m'apelle comme ça plutôt que par mon vrai prénom. Étrange, mais quand même vrai. [désoler, c'est un peu court.] |
| | | Angie Walsh
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| Sujet: Re: Dommage, c'était Samedi ... [Jason } Jeu 8 Jan - 17:57 | |
| Je ne retins pas le sourire qui me taquinait les lèvres. Oui, je le traitai de con. Ca faisait depuis toujours, c’était comme ça. J’étais chiante, et lui con. Pourtant, je ne me voyais pas le lui dire, autrement que pour plaisanter. L’était-il vraiment ? Euh … Aucune idée. Plus encore, aucune importance. Il était qui il était, avec sa fierté qui m’agaçait et son sourire qui me réconfortait. Je parlais au second, troisième ou quatrième degré avec lui, et jamais je ne m’étais heurtée à un quelconque quiproquo absurde qui aurait pu tout gâcher. Pourtant, au début, quand je ne le connaissais que bien, je rigolais déjà de tout avec lui. Ca a été, en quelque sorte, un coup de foudre. Mais pas dans le sens où on l’emploie d’habitude. Enfaite, c’est juste que les gens l’emploient mal.
« Ben oui je te traites de con. Ca te vexe ? »
J’eus un petit rire, sachant pertinemment sa réponse. Et même s’il me disait oui, c’était pour me taquiner. Il n’y avait pas besoin de le connaitre aussi bien que c’était mon cas pour savoir ça. Rien qu’a voir son expression, et a avoir entendu le ton de ma voix quand je lui avais dit ça Non, ce n’était pas de la méchanceté, bien sur que non ! Simples taquineries. Mais si vous n’avez pas d’amis avec les quels vous êtes aussi proches que ça, vous ne pouvez pas comprendre. On va donc dire ça comme ça. J’accordais un petit regard à ses yeux bleus. Ceux que tant de filles aimaient et tant de garçon voulaient. Tu m’étonnes, ils étaient vraiment beau, sincèrement. Bon, moi je n’en voulais pas, mais les miens étaient déjà couleur océan. C’était d’ailleurs une des seules choses que j’aimais sur mon visage.
« Quelle délicatesse Jazz ! Tu été censé me dire que non, je n’avais pas l’air fatigué. Voilà qui est bien parlé à une fille … »
Je levais les yeux au ciel et fit mine d’être exaspérée, mais je n’y arrivai pas bien longtemps. Ca faisait pas mal de temps à présent qu’on ne s’embarrassait plus avec la gêne et ce qu’il fallait dire ou pas à l’autre. C’était la vérité, un point c’est tout. Et puis, franchement, il y a plus vexant que s’entendre dire qu’on a des cernes dans la vie. Bien sur, à certains moments la vérité faisait mal, comme quand il me disait par exemple de lâcher l’affaire avec Preston et de trouver quelqu’un d’autres. Bon sang, mais pourquoi lui avais-je dit ça ? Ah oui, c’est vrai, parce que je lui disais toujours tout. Je ne pouvais rien lui cacher, et parfois c’était même gênant.
« C’est bien. Ca change de toutes les fois ou t'es fatigué. Au fait, en parlant de ça, ton frère est toujours aussi génial avec toi ? »
Je n’avais rien de spécial contre Aaron, au contraire, je l’aimais plutôt bien. Mais il avait certains différents avec son frère, qui faisait que je prenais garde à ma manière de parler de lui. J’essayais de défendre Jason. Quoi ? Oui, je sais, la vérité. Mais là il s’agissait d’amitié. Parce qu’après tout, ce n’est pas le rôle de la meilleure amie ? De réconforter, rassurer, être là et tout et tout ? Et bien si, justement. Alors voilà, je le remplissais. Et vous savez quoi ? J’adorais ça ! Comme la plupart des gens, et comme Jason j’espérais.
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